Valérie
Valérie s'est prêtée au jeu de l'interview, un GRAND merci à elle de nous partager son histoire, son quotidien et sa vision de ce beau métier.
Peux-tu te présenter et résumer ton parcours ?
J'ai 55 ans, mon parcours professionnel est essentiellement dans le secteur commercial, recrutement avec du bénévolat dans l'humain. Je me suis beaucoup occupée de mes enfants, pris soin de mes parents et de personnes autour de moi, c'est surtout cet aspect-là de ma vie dans lequel je puise mes ressources aujourd'hui.
Au travers de ces expériences de vie, j'ai développé beaucoup de compétences, telles que l'organisation, l'écoute des besoins, prendre soin de chaque personne de la façon la plus adaptée qui soit dans la douceur et la bienveillance.
À travers mon expérience, je veux pouvoir démontrer qu'Auxiliaire de vie, c'est un job passionnant, qui demande de la créativité, de la pédagogie et dans lequel l'aventure humaine est fabuleuse.
Les personnes dont je m'occupe sont heureuses de me voir, nous avons des échanges très riches et souvent légers malgré le poids de leurs maux ou de leur pathologie. Ils sont très souvent reconnaissants, le tout est de trouver un juste équilibre entre sa vie pro et sa vie de famille pour garder une bonne énergie, qui permet d'apporter un service sur-mesure de qualité.
Une phrase de Robin William me vient en tête : Chaque personne que vous rencontrez livre une bataille dont vous ne connaissez rien. Soyez gentil. J'adore mon job, tentez l'aventure si vous aimez l'humain.
Au travers de ces expériences de vie, j'ai développé beaucoup de compétences, telles que l'organisation, l'écoute des besoins, prendre soin de chaque personne de la façon la plus adaptée qui soit dans la douceur et la bienveillance.
À travers mon expérience, je veux pouvoir démontrer qu'Auxiliaire de vie, c'est un job passionnant, qui demande de la créativité, de la pédagogie et dans lequel l'aventure humaine est fabuleuse.
Les personnes dont je m'occupe sont heureuses de me voir, nous avons des échanges très riches et souvent légers malgré le poids de leurs maux ou de leur pathologie. Ils sont très souvent reconnaissants, le tout est de trouver un juste équilibre entre sa vie pro et sa vie de famille pour garder une bonne énergie, qui permet d'apporter un service sur-mesure de qualité.
Une phrase de Robin William me vient en tête : Chaque personne que vous rencontrez livre une bataille dont vous ne connaissez rien. Soyez gentil. J'adore mon job, tentez l'aventure si vous aimez l'humain.
Pourquoi avoir choisi de faire le métier d’assistante de vie ?
Parce que ça tombait sous le sens, j'aime mes semblables et que mon super pouvoir, c'est de prendre soin des autres.
Pourquoi avoir intégré « Sous le Figuier » ?
Parce qu'elles ont cru en moi et que j'ai cru en elles.
Raconte-nous une journée en tant qu’assistante de vie « Sous le Figuier »
Je commence à 10h chez ma cliente Delphine avec qui je prépare des activités culturelles (modelage, diy, lustres fleurs crépon, guirlandes pâte durcissante), ou élaboration de plats qu'elle adore avec elle (cuisine asiatique ou bistrot), nous passons deux heures ensemble.
S'il fait beau, on part se promener en bord d'océan également, avec elle, je suis plus dame de compagnie.
À midi, je rentre déjeuner, à 15hrs je pars rejoindre mon client Dominique de 80 ans qui subit une maladie neurologique, je l'accompagne à tous ses rendez-vous médicaux, orthophonie, visite à son épouse hospitalisée, courses, puis préparation de son repas du soir, comme j'adore cuisiner, je suis attentive à ses goûts. Je tiens son lieu de vie propre et rangé, comme mes collaboratrices.
Je me plais à rendre leur quotidien plus léger, je suis plutôt joviale et à l'écoute de leurs émotions afin de les aider du mieux que je peux à relativiser et trouver les ressources pour mieux gérer leur pathologie.
Après 19h je rentre chez moi.
S'il fait beau, on part se promener en bord d'océan également, avec elle, je suis plus dame de compagnie.
À midi, je rentre déjeuner, à 15hrs je pars rejoindre mon client Dominique de 80 ans qui subit une maladie neurologique, je l'accompagne à tous ses rendez-vous médicaux, orthophonie, visite à son épouse hospitalisée, courses, puis préparation de son repas du soir, comme j'adore cuisiner, je suis attentive à ses goûts. Je tiens son lieu de vie propre et rangé, comme mes collaboratrices.
Je me plais à rendre leur quotidien plus léger, je suis plutôt joviale et à l'écoute de leurs émotions afin de les aider du mieux que je peux à relativiser et trouver les ressources pour mieux gérer leur pathologie.
Après 19h je rentre chez moi.
As-tu une anecdote ou un moment qui t’a marqué ?
Je n'ai que des journées où je retire du bon, la seule anecdote qui me semble judicieuse à partager c'est de vous confirmer que je me sens à la bonne place, au bon moment, tout le temps.
Vous ne me croyez pas ? Tant mieux, la surprise n'en sera que plus agréable.
Que dire à une personne qui hésite à devenir assistante de vie ?
Et si c'était beaucoup plus sympa que tu ne l'imagines ? Tente l'aventure pour voir !